Irrigation côlonique Toulon Var

irrigation du côlon Toulon

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Les bienfaits de l’irrigation colonique sur la santé ne sont plus à démontrer.
Ma pratique enrichie de différentes techniques et approches en psychothérapies et en nutrition vient en décupler les résultats.
Notre état physique étant intimement lié à notre état émotionnel,
les bienfaits d’une irrigation colonique ont donc par ricochet une action bénéfique sur le mental.
Avec mon approche, l’irrigation colonique devient une technique qui prend en compte la globalité de l’être humain (corps /esprit).

L’irrigation du côlon ou hydrothérapie du côlon

 C’est une mesure d’hygiène et de prévention,
une méthode douce et approfondie de nettoyage du gros intestin.
limitant l’apparition de troubles fonctionnels.

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L’irrigation du côlon est un atout majeur pour préserver son capital santé.

 

Intégrer l’irrigation du côlon (hydrothérapie du côlon) dans un mode de vie en l’associant à :
– une alimentation saine
– de l’activité physique
– un équilibre émotionnel

accroit son efficacité.


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Les lavements étaient pratiqués depuis l’antiquité et n’avaient que d’action sur une petite partie de notre gros intestin.
Aujourd’hui avec l’irrigation du côlon, ou l’hydrothérapie du côlon Toulon
c’est la technologie qui permet de pratiquer un lavement en profondeur de la totalité
de notre gros intestin tout en assurant au patient
hygiène et confort optimal.

(hydrothérapie du côlon Toulon, irrigation du côlon Toulon, bien-être intestinal, hygiène intestinale, transit)

 Une nouvelle thérapie « nettoie » les angoisses L’irrigation du côlon Une nouvelle thérapie, centrée sur les intestins,
permet de nettoyer au sens propre les émotions négatives : angoisses, tristesse, dépression.

En effet, l’intestin évacue les restes de l’alimentation que votre corps ne peut digérer,
mais il a aussi pour fonction d’évacuer les reste des hormones des émotions : sérotonine, acétylcholine, noradrénaline, GABA.

Tout comme il peut se dérégler et mal évacuer l’alimentation, il peut également peiner à évacuer ces hormones,
provoquant une accumulation source de désordres émotionnels.

L’hydrothérapie, qui est une technique douce de lavement des intestins accompagnée de massages enveloppants,
peut alors avoir l’effet d’une véritable « mini-psychothérapie » chez certaines personnes qui, enfin, lâchent prise…
Non seulement, un réel assainissement du gros intestin s’opère, mais aussi un grand nettoyage du surplus émotionnel et des lourdeurs psychiques.

VOTRE SECOND CERVEAU

Les récentes recherches en embryologie (étude des embryons), ont conduit à une étonnante découverte :
les cellules nerveuses de l’intestin proviennent du même feuillet embryologique que celles du cerveau.

Cela signifie qu’à un moment donné du développement de l’embryon, des cellules nerveuses se séparent du cerveau principal
pour migrer dans le ventre et former, au niveau des intestins, un second système nerveux, que l’on appelle le système nerveux entérique.

Intestin et cerveau sont bien sûr séparés chez l’adulte, mais une communication permanente se maintient via le nerf vague,
également appelé nerf n°X ou nerf pneumogastrique.

Comme le cerveau, l’intestin comporte d’ailleurs des neurones, au nombre de 200 millions,
et on y retrouve l’essentiel des neurotransmetteurs du cerveau (sérotonine, acétylcholine, noradrénaline, GABA…).
L’exemple le plus spectaculaire est celui de la sérotonine, un neurotransmetteur qui influence les états d’âme et qui est produit à 95 % …
par les cellules nerveuses de l’intestin !

Mais bien d’autres neurotransmetteurs sont impliqués, selon le gastroentérologue français Michel Delvaux,
qui parle de « Sensibilité viscérale » dans son ouvrage du même nom. (1)

La découverte des liens entre cerveau et intestins est si révolutionnaire qu’elle a donné naissance à une nouvelle discipline :
la neuro-gastro-entérologie.
Michael Gershon, professeur d’Anatomie et Biologie Cellulaire de l’Université de Columbia aux Etats-Unis,
a désigné les intestins comme le second cerveau, dans un livre célèbre, The Second Brain, paru en 1999.

D’après Michael Gershon, « le cerveau intestinal serait capable de se souvenir;
il participerait à la phase des rêves pendant le sommeil en produisant de la sérotonine et constituerait vraisemblablement la matrice biologique de l’inconscient. » (2)